Poésie : Le capital primitif
Titre : Le capital primitif
Poète : Henri-Frédéric Amiel (1821-1881)
Recueil : Il penseroso (1858).
Multipliant ses aptitudes
On peut en faire des talents ;
On creuse, on étend ses études ;
On forme, on réforme ses plans ;
Mais nul babil, nulle souplesse
Ne peut dissimuler longtemps
Le fonds premier : force ou faiblesse.